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Des milliers d'enfants des Etats-Unis et du Canada âgés de 6 à 11 ans vont participer à un essai clinique du vaccin Moderna contre le covid-19 qui utilise la technologie de l'ARN messager… à quand en France et ailleurs ?Le commentaire en fin de texte est très pertinent. Ayant travaillé avec des labos pharmaceutiques à plusieurs reprises (dont AstraZeneca), je confirme que le délai normal d’autorisation de mise sur le marché (AMM) est bien de 7 à 10 ans, en 3 phases, dont la dernière est une phase ultime de vérification sur des cobayes - animaux (souris/rats, …) avant de les mettre à disposition des humains, ou non. Et à la fin de chacune des phases, il y a un comité qui statue STOP OU ENCORE. Donc un produit qui passe les phases 1 et 2 avec succès n’est pas automatiquement sûr d’être validé à la fin de la phase 3, et ne sera donc jamais mis sur le marché.
Ici la phase 3 est directement faite sur les humains, sans passer par les essais longs. Et la phase 2 a été raccourcie. Donc les protocoles de précaution usuels ont été ignorés sciemment… feu vert des politiques et législateurs.
Faire maintenant des essais sur des nourrissons et des enfants est un véritable crime. Ceux qui autorisent cela, mais aussi les vaccinations de ces produits non aboutis, sont des CRIMINELS. Les vaccinés seront associés à un test grandeur nature en tant que COBAYES dont les résultats ne seront analysés au mieux qu’en 2023. Le savent-ils ? Il n’y a aucune donnée actuellement sur les effets à moyen et long terme des injections. Et les laboratoires ne divulguent que ce qu’il veulent mettre à disposition des autorités. Souvenez-vous du médiator (ce n’est qu’un des nombreux exemples) : c’est Servier qui fournissait toutes les données, bien sûr favorables, en occultant les études à résultat négatif.
En attendant les laboratoires sont tous exemptés par les politiques des gouvernements de toute conséquence juridique en cas de problème, et ne pourront être poursuivis devant des tribunaux. Par contre ils encaissent tous les profits (Pfizer en 2020 : plus de 15 milliards de $ au dernier trimestre – les actionnaires, avides de dividendes, se frottent les mains, sans aucun état d’âme, et la cote des actions cartonne !)
Ne vous faites pas vacciner, votre liberté a un prix non négociable.
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Olvid annonce tout de suite la couleur, en faisant la promesse à ses potentiels utilisateurs de leur offrir la "messagerie instantanée la plus sûre du monde", et ainsi concurrencer le géant WhatsApp, en ciblant avant tout les entreprises. La jeune entreprise française, née il y a moins de deux ans, se donne les moyens de ses ambitions, sur un marché déjà bien encombré, en misant avant tout sur les idées et l'innovation, plutôt que sur des levées de fonds à vau-l'eau. L'application freemium (une partie gratuite, avec des fonctionnalités payantes) ne nécessite aucune donnée personnelle, et ne se sert pas des mêmes ingrédients que ses concurrents. Pour en parler plus en détails, nous avons discuté, à l'occasion des Assises de la sécurité 2020 à Monaco, avec le CEO et co-fondateur d'Olvid, Thomas Baignères.
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