• Enfin une vrais explication..... Le mensonge climatique à résonance fiscale !

    Enfin une vrais explication..... Le mensonge climatique à résonance fiscale !
         Étude de Laurent Freeman : là, on comprend mieux...

    La NASA admet que les changements climatiques sont dus aux modifications de l’orbite terrestre, et non aux 4×4 ou aux combustibles fossiles

    Depuis plus de 60 ans, la NASA sait que les changements qui
    se produisent dans les modèles météorologiques planétaires
    sont entièrement naturels et normaux.
    Mais l’agence spatiale, pour quelque raison que ce soit, a choisi de laisser
    le canular du « réchauffement climatique anthropique » persister et se
    propager au détriment des libertés fondamentales de chaque être humain.

    En effet, et à l’instar des jours et des nuits, des saisons, des cycles

    lunaires et solaires, ainsi que des cycles propres à notre

    galaxie (tout comme pour l’ensemble de l’Univers), le réchauffement

    et le refroidissement terrestres sont cycliques et naturels. Ce que

    l’on comprend également, c’est qu’il n’y a pas de « réchauffement

    » en tant que tel depuis 1997.

    Prendre comme point de repère certaines parties du globe pour annoncer

    en fanfare des augmentations de températures globales n’est ni sérieux,

    ni digne de la science.

    Donc, s’il n’y a pas de réchauffement, l’expression « réchauffement

    climatique anthropique » est un mensonge.

    En lieu et place, les scientifiques du GIEC auraient dû avoir l’honnêteté

    de parler de « changements climatiques », et ce depuis le début (1988).

    Mais honnêteté ne rime pas avec profit.

    C’est en 1958, pour être précis, que la NASA a pour la première fois

    observé que des changements dans l’orbite solaire de la Terre

    et des modifications de l’inclinaison de son axe sont responsables

    de ce que les climatologues appellent aujourd’hui le « réchauffement »

    (ou « refroidissement », selon leur intention du jour).

    En d’autres termes, les humains sont impuissants à réchauffer

    ou refroidir la planète en conduisant des 4×4 ou en mangeant du

    bœuf (bien que cela ne soit pas bon pour la santé et cruel envers les

    animaux).

    Mais jusqu’à présent, la NASA a échoué à rétablir les faits pour ce

    qu’ils sont et a plutôt choisi de rester les bras croisés à observer

    les libéraux/démocrates paniquer face à un monde censé prendre fin

    dans 12 ans à cause d’un excès de production bovine ou de pailles en

    plastique.

    Le Giec ayant déclaré dans son rapport publié en octobre 2018 qu’il

    fallait réduire les émissions de gaz à effet de serre de 50 % pour

    réduire la hausse du réchauffement climatique, Alexandria Ocasio-Cortez

    (plus jeune démocrate élue au Congrès étasunien à 28 ans en 2018)

    déclarait en janvier dernier que le monde prendrait fin dans douze ans :

    « La fin du monde est dans douze ans si nous ne traitons pas le problème

    du changement climatique. […] C’est une guerre, c’est notre Deuxième

    Guerre mondiale (Sic !). » Source

    Des envolées lyriques dans une défense d’un « Green New Deal »

    qu’aucun démocrate n’a voté, ce qui en dit long sur la sincérité de

    leurs déclarations.

    Cependant, la vérité ressemble bien plus aux travaux de

    l’astrophysicien serbe Milutin Milankovitch — qui a donné son nom

    à la théorie astronomique des changements climatiques, aussi

    appelée Théorie Milankovitch. Cette théorie permet d’expliquer

    comment les variations saisonnières et latitudinales du rayonnement

    solaire, qui touchent la Terre de différentes manières et à

    différents moments, exercent le plus grand impact sur les

    changements climatiques de la planète.

    C’est pourquoi des libéraux un peu dérangés et obsédés par

    le climat ont maintenant commencé à prétendre qu’il ne nous

    reste que dix-huit mois avant que la planète ne meure d’un excès

    de dioxyde de carbone ou CO2.

    Les deux images ci-dessous permettent d’en illustrer le propos.

    La première montre une excentricité orbitale de la Terre quasi nulle,

    et la seconde une excentricité orbitale de la Terre de 0,07.

    Ce changement d’orbite est représenté par la forme excentrique

    et ovale de la deuxième image, qui a intentionnellement été exagérée

    dans le but de montrer le changement massif de distance qui se produit

    entre la Terre et le Soleil, selon que ce dernier se trouve au périhélie ou

    à l’aphélie.

     

    Comme spécifié par Hal Turner dans son émission radiophonique :

    « Même l’excentricité maximale de l’orbite terrestre de 0,07

    serait impossible à représenter à la résolution d’une page Web.

    Même ainsi et à l’excentricité actuelle de 0,017, la Terre est

    5 millions de kilomètres plus proche du Soleil au périhélie

    qu’à l’aphélie. »

           Le Soleil est le plus grand facteur affectant le climat terrestre

    Quant à l’obliquité terrestre, ou son changement d’inclinaison axiale,

    les deux images ci-dessous illustrent à quel point la Terre peut

    se déplacer à la fois sur son axe et sur son orientation rotationnelle.

    Aux inclinaisons plus élevées, les saisons terrestres deviennent beaucoup

    plus extrêmes, tandis qu’aux inclinaisons plus basses, elles deviennent

    beaucoup plus douces. Il en va de même pour l’axe de rotation de la Terre

    qui, selon l’hémisphère pointé vers le Soleil pendant le périhélie, peut

    avoir un impact considérable sur les extrêmes saisonniers entre les deux

    hémisphères.

    Variation de l’obliquité axiale

    Précession

    Milankovitch a été en mesure — à partir de ces différentes variables —

    de mettre au point un modèle mathématique global lui-même capable de

    calculer les températures de surface de la Terre en remontant dans le

    temps, et la conclusion est simple :

    le climat de la Terre est en constante évolution et a toujours

    fluctué, sans que la faute puisse en être imputable aux êtres

    humains ou à leurs activités.

    Ignoré pendant près d’un demi-siècle, le modèle présenté pour la

    première fois par Milankovitch n’a reçu l’approbation de ses pairs qu’en

    1976, lorsqu’une étude publiée dans la revue Science est venue confirmer

    son exactitude et sa conformité en regard de diverses périodes de

    changements climatiques qui se sont produits au cours de l’histoire.

    En 1982, six ans après la publication de cette étude, le National Research

    Council de la National Academy of Sciences des États-Unis a adopté la

    théorie de Milankovitch comme exacte et fidèle à la réalité, en déclarant

    que :

    « … les variations orbitales demeurent le mécanisme de changement

    climatique le plus minutieusement étudié à l’échelle de dizaines de

    milliers d’années et constituent de loin la plus flagrante incidence

    d’un effet direct du changement d’exposition aux rayons solaires sur

    la basse atmosphère de la Terre. »

    Selon le Professeur Gervais dans un précédent Focus :

    « Les observations récentes sont dérangeantes pour les modèles

    de climat ; sans doute parce qu’ils se refusent à prendre en compte

    un cycle de soixante ans de la température globale de la planète

    pourtant documenté sur cent trente ans. Ce cycle se décompose en

    phases montantes, descendantes, en plateaux, chacun d’une

    quinzaine d’années. […] Ainsi, en 2013, la superficie de la

    banquise arctique a présenté un déficit estival limité, très

    inattendu pour les alarmistes. Mais, tout au long de l’année,

    la superficie de banquise antarctique, elle, a présenté un excédent

    du même ordre, et même un record absolu confirmé par la NASA ! »

    Si nous devions tout résumer en une simple phrase mettre un point

    final à tout ceci, ce serait :

    Le Soleil est le plus grand facteur en capacité d’influencer les phénomènes

    météorologiques et climatiques sur Terre.

    Selon la position de la Terre par rapport au Soleil à un moment donné,

    les conditions climatiques vont considérablement varier et même créer

    des anomalies radicales en mesure de défier tout ce que les humains

    pensaient savoir sur le fonctionnement de notre planète.

    Mais plutôt que de se rallier à cette réalité fidèle, exacte et

    reconnue, les « climatologues » d’aujourd’hui, rejoints par des

    politiciens de gauche et des média grands publics complices, insistent

    sur le fait que ne pas recourir aux sacs réutilisables des supermarchés

    et ne pas avoir de véhicule électrique détruit la planète si rapidement

    que la seule solution réside dans une imposition absolue d’imposer des

    taxes climatiques mondiales.

    Commentaire : Selon István Markó :

    « Dilapider des milliards d’euros pour des modèles mathématiques

    qui sont faux et ne peuvent rien prédire, c’est ridicule. Cet argent

    dépensé pour rien devrait être utilisé pour régler de vrais

    problèmes de pollution. Par exemple le sixième continent,

    ce gigantesque agglomérat de déchets qui flotte dans le

    Pacifique, pourquoi on ne le nettoie pas ? On pourrait

    aussi nettoyer et repeupler nos rivières, assainir nos sols,

    transformer des chancres industriels en cités où il ferait

    bon vivre. Ce serait bien plus utile que de s’acharner sur

    ce malheureux CO2, que nous produisons tous lorsque nous

    expirons et qui ne nous a rien fait. »

    Et selon un commentateur de l’émission radiophonique de Hal Turner :

    « Le débat sur le changement climatique n’a rien à voir

    avec la science. Il s’agit d’une manœuvre des pouvoirs

    en place et des élites visant à imposer des contrôles

    politiques et économiques sur la population.

    Et c’est un moyen supplémentaire — un parmi tant d’autres —

    pour diviser la population en deux, avec une partie qui mord à l’hameçon

    du réchauffement climatique anthropique et une autre qui le conteste,

    selon le sempiternel « diviser pour mieux régner ». »

    Vous pouvez lire le rapport complet de l’émission radiophonique de Hal

    Turner via  ce lien.

    Un aspect non mentionné dans l’article est l’effet de l’environnement

    cosmique sur la météorologie terrestre que l’on peut en partie mieux

    appréhender par le biais des travaux du physicien danois Svensmark :

    « Au lieu de voir les nuages comme la conséquence du climat,

    il s’agit en fait de montrer que le climat découle des nuages,

    car les nuages reçoivent leurs ordres des étoiles. »

    Heinrich Svensmark est depuis 1997 le principal défenseur de

    l’induction des formations nuageuses de basse altitude par le rayonnement

    cosmique, lui-même contrôlé par les cycles du Soleil.

    Manière dont les rayons cosmiques aident la formation de noyaux

    favorisant la formation de nuages.

    Néanmoins, ceux qui perpétuent le récit des « changements climatiques

    anthropiques » nous vendent des fariboles.

    Car, et quand bien même l’être humain — de par sa façon de vivre

    aujourd’hui — est un grand pollueur de la planète, occulter,

    déformer ou encore minimiser la « réalité » du modèle de Milankovitch

    pourtant exact, admis et reconnu, permet à l’élite de continuer à

    manipuler les populations et à les maintenir dans une obscure ignorance

    qui les empêche d’apprendre la nature cyclique de leur histoire, ce qui

    leur permettrait de ne pas répéter les mêmes erreurs. Ce cycle

    comprend l’émergence d’empires suivie de leurs chutes dues

    à des bombardements cométaires, dont les météorites de Toungouska

    ou de Tcheliabinsk ne sont que de pâles exemples de ce qui nous attend :

    « Les comètes et leurs phénomènes associés – météores,

    séismes, changements climatiques, volcanisme, inondations,

    incendies, (mini-)âges glaciaires, etc., semblent avoir entraînés

    dans leurs sillages et tout au long des millénaires, de mauvaises

    récoltes suivies de famines, d’épidémies, de révolutions, de guerres

    et de chutes d’empires, d’évolutions et de déclins. »

    Il semble par ailleurs de plus en plus évident que nous nous dirigeons

    vers un refroidissement planétaire et que l’élite le sait depuis longtemps.

     


     
       

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